Il fait bon à cette heure, sur le bord du ravin

Publié le par フロリアン

Dans De l’or en barrre, on dirait qu’Alec Guiness a ouvert la voie à Michael Caine et Peter Sellers pour un certain type de composition. Encore un film qui associe Audrey Hepburn (quelques secondes) et la Tour Eiffel.

恐れおののい est très proche du roman. Il semble qu'on peut le voir sans la narration, les images s'en passent.

Du sang dans le d­ésert est classe. Anthony Perkins est sympathique, Henri Fonda, bien bon, et surtout j’y découvre la formidable gueule de Neville Brand vu surtout dans Eaten alive (mais pas par moi). C'est vrai qu'il jouait aussi dans Stalag 17.

 

The Lavender Hill Mob, Charles Crichton, 1951

Stupeur et tremblements, Alain Corneau, 2003

The Tin Star, Anthony Mann, 1957

 

Pourquoi elle gagnait toujours contre les autres à la course ? Mais parce que quand Sophie démarrait, Charle traînait  et Pierre freinait. C’était dans je me souviens de Georges Perec. Il s’y souvint d’autres blagues, de certains films...

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