Top articles
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e un'emozione che cresce piano piano
Grâce au onze novembre qui est férié, j'ai pu poursuivre, avec le Chicon tout juste rentré de Bruxelles, les séances de rattrapage permises par Slobodna Zona. On m’a mis au parfum sur le fait divers qui a inspiré À perdre la raison. Ce n’est pas ce qui...
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all the trees are red, no one ever dies there, no one has a head
Et c'est reparti. Après plus de 45 jours d'activité, il paraît que des pubs apparaissent. 45 jours. Un mois et demi. On va tâcher de faire en sorte d'essayer de pouvoir que cela ne se reproduise plus. D'autant que si ma consommation de films a quelque...
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Le ministre a dit que les français sont hantés par Racine et par Cicéron
Une nouvelle série de films de cinéclub, certains à l'université et d'autres à l'institut. Le deuxième et le troisième et l'avant-dernier, on les a vus avec le chicon. Ce sont des films vus entre le 9 mai et le 16 mai. D’Airport, je retiens essentiellement...
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un chardonneret qui sifflote, dans l'eau un bouchon qui flotte
Films vus entre le 15 et le 20 septembre (ce qui, convenons-en, fait une paye, ce qui aurait dû avoir l’avantage de donner un peu plus de recul) Ça commence à Vera Cruz a la pêche. J’aime un peu tout dans ce film. Le rythme (ça commence tout de suite),...
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better be ready 'bout half past eight, now baby, don't be late I wanna be there when the band start playing
Ça y est, le Chicon s’en est retourné à Bruxelles. Au Tuckwood on s’est fait un ultime double-bill avec des frites, deux films européens très rapides qui vont dans tous les sens, avec plein de choses qui m’ont échappé et qui justifieraient une nouvelle...
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chanter la vie, les fleurs, les rires, les pleurs, le jour, la nuit, le soleil, la pluie, l´hiver, le vent, les villes, les champs, la mer, le feu, la terre pour être heureux
En juillet dernier, on a organisé un cinéclub de FLE. Cela signifie qu’il fallait faire découvrir du cinéma et de la civilisation française. Comme le site Institut Français Cinéma contenait pour encore quelques semaines plusieurs films de Jacques Demy,...
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... many things, fools and kings...
films vus entre le 21 et le 28 septembre Chaque fois que je regarde un film, j’aime à jeter un œil sur les avis de certains bloggueurs. Dans le cas de Cent dollars pour un shériff, il est apparu que la critique de ce film a souvent consisté en une comparaison...
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ce salaud me fauche tout mon oseille et me refile cinquante balles net
Ce sont des films vus entre le 12 et le 17 juillet. La plupart des Chabrol que j’ai vus datent des années 90 et 2000 parce que c’est de cette période que datent la plupart des titres de la médiathèque de l’Institut Français. J’aimerais bien voir ceux...
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quelques lectures de vacances
Cet été, pendant les vacances, j’ai surtout lu. Ce sont des livres lus entre le 21 juillet et le 25 août. ********* Partant à Amsterdam, j’ai décidé de relire La Chute d’Albert Camus. Avant de partir de Belgrade, j’avais emprunté au Chicon, le Conflit...
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Ils l'ont fait ! - Cavanna (1991)
Ceci vient de mon exemplaire de Coups de sang, un recueil de coups de sang de Cavanna. Paru chez Belfond, en 1991. C'est un recueil de ce que Cavanna ne pouvait plus écrire dans Charlie Hebdo puisque la revue n'existe plus. Cavanna existe toujours, lui....
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c'est triste de voir le piédestal, où le nom de l'artiste se lit péniblement parmi l'ombre d'un arbre
Films vus entre le 20 et le 26 octobre Cinéclub de la fac – Mine de rien, Tirez sur le pianiste figure dans la première liste des films de la semaine. Je la relis, j’ai changé d’avis quant à Lapointe. C’est un film qu’on a montré à l’université en hommage...
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puis un souffle étrange a passé, une ombre au mur s'est profilée...
Films vus entre le 29 septembre et le 3 octobre Le Dernier de la liste fut une emplette à Noz. On trouve toujours quelque chose à noz. Je n’avais jamais entendu parler de ce film de John Huston, réalisateur à la filmographie dont on dit qu'elle est prolifique...
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je fais la semaine des 35 cœurs sans compter les heurts supplémentaires
Films vus entre le 27 octobre et le 2 novembre Le Déserteur de Fort Alamo a fait plaisir. J’aime Glenn Ford dans ce type de composition. Le récit était assez cohérent pour que la petite histoire s’intègre bien dans la grande Histoire, dont elle se détache...
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aux clartés des étoiles je crois encor la voir entr'ouvrir ses longs voiles aux vents tièdes du soir
Films vus entre le 6 et le 12 octobre. La Tulipe Noire laisse un drôle de goût. La double performance d’Alain Delon est simple et efficace ; qu’ils partagent ou non leurs scènes, les quasi jumaux qu’il interprète sont lisibles. On retrouve Akim Tamiroff...
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berceau berçant des violes, un ange s'est caché dans le placard aux fioles où l'on me tient couché.
Films vus entre le 24 et le 30 novembre Cinéclub de la fac – Dans La Féline , lors de la scène du mariage qui a lieu à The Belgrade, un restaurant serbe de New York, un invité dont le coiffeur est serbe utilise le terme de Komitadji. Simone Simon le corrige...
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Heinz Emigholz - Photographie und jenseits – Teil 7, 19 und 20
Films vus entre le 3 et le 5 octobre Les projections de ces films de Heinz Emigholz (né en 1948) au Dom Omladine , le weekend du 3 octobre, ont eu lieu dans le cadre du premier REZ ("cut"), la première édition du festival du film expérimental contemporain....
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qui aurait parié un bouton de son pardessus, un bouton d’imperméable, sur ces deux indénouables ?
Films vus entre le 15 et le 21 décembre Cinéclub de l’Institut Français (7/7) – La Bûche de Noël , ou, pour moi, le retour de Cheval, Cowboy et Indien après Panique au Village. Un grand plaisir. Cinéclub de l’Institut Français (7/7) – Comme Ma maman est...
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nos filles sont brunes et l'on parle un peu fort
Films vus entre le 8 et le 14 décembre Cinéclub de la fac – Adieu Gary , pour montrer un peu d’Ardèche et aussi Jean-Pierre Bacri. Le film parle de misère sociale, mais avec un regard positif. Il n’y a pas d’intrigue, peu de noirceur, du soleil, de la...
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Heute zieh ich meine Runden Seh die Welt in Truemmern liegen
Films vus entre le 13 et le 19 octobre Cinéclub de la fac – Camille redouble est comme on avait dit. Ce fut le premier cinéclub de la fac de l’année. On l’a choisi d’une part parce que la distribution comprenait plein d’acteurs vus dans des films l’année...
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magique et maléfique, tu transperces et tu piques
Films vus entre le 17 et le 23 novembre Cinéclub de la fac – C’est L’Arnacœur qui m’a donné l’idée de commencer cette liste, à cause du personnage de Goran interprété par Jean-Marc Paris. Les résolutions de Screwball comedy paraissent des dénouements...
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and the papers want to know whose shirts you wear
Le Loup de Wall Street est le genre de film dont il paraît vain de dire si on l’aime ou non. On m’a raconté une séquence du Masque et de la Plume equi lui était consacré et au sujet duquel chacun relevait les mêmes points pour justifier le fait de l’aimer...
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d'après ce qu'on nous annonce ça va dans un bon sens, faut pas prévoir à l'avance avant d'avoir la réponse
Films vus entre le 3 et le 16 novembre Cinéclub de la fac – Ayant lu et aimé le livre de Japrisot, j’étais curieux de voir Un long dimanche de fiançailles, curieux mais pas impatient. Le film fait penser à ces sketches « à la manière de » : le livre est...
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Vals an anaon é valse de Bardamu
A l'approche du 11 novembre, une petite série d'association d'idées sur le sujet. Aujourd'hui Vals an anaon é valse de Bardamu par Hamon-Martin Quartet Published on Nov 7, 2012 by 840xbz La première valse est une composition du groupe, on doit la seconde...
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Chandeleur Septante Cinq - Julos Beaucarne
L'un des disques marquants les plus anciens de ma carrière d'auditeur. Mine de rien il a peut-être déterminé pas mal de chose dans ma formation d'être humain. J'ai le plaisir (et, je l'avoue, le besoin) de partager ce disque. Je ne sais pas combien de...
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la porte du bonheur est une porte étroite
L’amour est plus froid que la mort est hypnotique. Ça commence comme une pièce de théätre expérimentale avec l’immense avantage du montage. C’est très stylisé, il y a des travellings droite gauche, et ça me perturbe. Et alors là, de deux choses l’une...