We are born to die (5)

Publié le par Stewart Swinton

Dans Wolf, il y a Neil de Frasier et Ross de Friends. Malgré l’intrigue qui tire sur l’horreur et le thriller, j’aime surtout le questionnement et la métaphore de la place de l’homme dans la nature. Et puis ça commence et ça finit comme un conte.

Friday the 13th, est un film où tout le monde se fait trucider sans pouvoir alerter les autres et sans qu’on comprenne quoi que ce soit avant les dernières minutes. Il y a peu de sadisme, les personnages n’ayant pas tellement le temps d’avoir peur. On a pensé à faire montage de scènes où les personnages s’appellent sans obtenir de réponse. On a pensé au résultat. On a renoncé.

Opération Lune, c’est le fameux canular sur les fausses images sélénites.

Dans Friday the 13th part 2, les personnages considèrent les évènements déroulés cinq ans auparavant comme des légendes pour faire peur dans les camps de louveteaux. On ne comprend pas bien la fin. On a pensé à Red is dead. On dégage des tendances.

Le choix des armes procure une grande émotion. C’est peut-être le propre des polars rigoureux. Ce sont de mes émotions préférées au cinéma. Lanvin, jeune face a Depardieu monstrueux. La Courneuve de cette époque rappelle certains quartiers de Belgrade.

Les films documentaires sur Belgrade des archives des "Films du Danube" sont extrêmement bien fichus. Elles étonnent par leurs qualités cinématographiques. On a vu ça à la cinémathèque de Belgrade pendant le festival du film ethnographique. On eût voulu connaitre cette époque. Ce qui l’ont connue la regrette. Ces films sont faits pour alpaguer le chaland, ils sont convainquants.

Dans Friday the 13th part 3, les personnages n’ont jamais entendu parler de ce qui s’est passé. N’était la scène d’introduction (en fait la fin du précédent) ça pourrait être un Halloween. Certains codes spécifiques (au genre ou à la série, je ne sais pas bien) sont respectés (une scène d’introduction en forme de flash-back, la musique, les meurtres discrets, le lieu, un baisouillage, une survivante hystérique), un disparaît (plus de tempête) et un fait son apparition (le masque de Hockeyeur). On a de nouveau pensé à cet affreux Youri. Ça devient plus gore.

 

Wolf, Mike Nichols, 1994

Friday the 13th, Sean S. Cunningham, 1980

Opération Lune, William Karel, 2004

Friday the 13th part 2, Steve Miner, 1981

Le choix des armes, Alain Corneau, 1981

Филмски документи о Београду из архиве ''Дунав Филма'' - Србија (1961) - Београдом, некидан (1966) - Београд (1969) - Теразије (1969) - Београд-град домаћин (1974), Dunav Film, 1961-1974

Friday the 13th part 3, Steve Miner, 1982

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