the dead brothers

Publié le par m. florian


Les dead brothers sont suisses (de genève).

Ils ont une trompette et un banjo. Aussi un parlophone. (Et parfois un violon mais toujours un tuba).

Ils ont fait un concert dans un bar à Vienne (sous l'ancienne voie du métro). Le concert était bruyant (on y buvait de la bière, surtout) et le disque est très propre. Le concert m'avait donné envie d'acheter le disque. Je n'ai pas été déçu parce que l'ambiance est similère, c'est-à-dire familiaire du concert au disque.

Une fois, je me suis dit (quand je les ai vus) : si je savais faire de la musique voilà ce que je ferais. Cet univers m'est familier. J'ai un peu essayé après. Je n'essaierai plus, je pense.

Ce disque, on peut le trouver chez un marchand de disques (je n'achète la musique que chez les marchands de disques). Voilà qui m'a étonné. J'avais renoncé à le chercher une belle lurette ago parce qu'en 2003, je ne le trouvais pas.

Ils ont une chanson sur Marlène Dietrich, une sur Guillaume Tell et une sur Mustapha.

Ils sont francophones, mais ils chantent en anglais (sauf Mustapha et Wenn ich mir was wünschen würde).

Ils parlent de ce dont tout le monde parle. on reconnaît des tas de gens. ça veut dire que des tas de gens ont réussi à mettre au point un genre dans lequel les dead brothers sont à l'aise. Moi, j'appellerais ce genre, le genre 'dead brothers'. (C'est peut-être injuste pour ceux qui ont travaillé avant eux)(oh et puis non).

(et puis tiens, un clip)

Publié dans Musique aux autres

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